mardi 6 septembre 2011

ce soir, mauvais trip

il y a plus d'un an que je n'ai pas vu mon fils, la réciproque est qu'il n'a pas vu son père depuis la même période.
Je suis harcelé par une justice factuelle. Mon fils vit dans une ambiance que je réprouve au niveau des débordements à connotation sexuelle, j'en apporte les preuves par photos, je suis obligé de subir les procédures pour diffamation, si ces attitudes sont normales, pourquoi les montrer en photos serait diffamatoire?
Les testicules de l'ambassadeur se balançant devant le nez de mon fils pris en photos par la mère, c'est normal.
Sa tante qui pose en nymphette à presque 50 ans devant mon fils, c'est normal.
La femme du diplomate marocain, femme légitime, qui bénéficie de la CMU française, c'est normal.
L'administration française est bafouée par des ressortissants marocains, si ce sont des pauvres c'est un scandale, si ce sont des hauts fonctionnaires c'est normal.
Les hauts fonctionnaires en exercice qui prônent une exemplarité politique et qui assistent à ces scènes sans rien dire , c'est normal.
On m'a dit que dans notre société tout est normal, je n'accepte pas que mon fils subisse ces infamies.
Je dispose des preuves de tous ce que j'avance, j'attends de pouvoir les présenter.
Certaines personnes sans scrupule m'ont averti qu'oser dénoncer de telles situations est dangereux. Un enfant de 7 est privé de son père pour satisfaire les pulsions d'adultes dépravés, si cela se passe au Maroc, c'est normal.
J'aimerais entendre un démenti circonstancé.

Le ridicule de la situation

D'un coté la justice reconnaît l'inanité de la situation de mon fils au Maroc, de l'autre il ne faut pas montrer le mode de vie contre lequel je m'insurge.
Vendredi nouvelle audience, de façon compassée les faits que je dénonce vont être analyser et comparer au droit. Tout ce qui est scandaleux et non condamné me sera reprocher. La dernière fois je n'avais pas le droit de parler de soustraction d'enfant, maintenant c'est acté je fais ce que je veux sur ce sujet, la justice à fait son travail mais qui doit  délivrer mon fils? Mon seul droit acquis est de parler.
Les pratiques que je réprouve sont en cours d'instruction, devra t on attendre la destruction de mon fils pour agir. Je rappelle que je suis le père et que la justice m'a confié la protection de l'enfant !
Comment interpréter ces procédure, fabrication de criminels ? Lorsque j'ai commencé à parler il était encore temps d'agir, maintenant la société va plaindre ce pauvre enfant d'avoir subi une telle aventure !
Le fait que Nathalie est la mère biologique est un fait aggravant de son comportement, elle n'agit que pour la satisfaction de pulsion. un enfant de 7 ans est en jeu.

l'autorité parentale

Les écrits sur l'autorité parentale  sont surprenants. Une autorité est assise sur une pratique, une autorité non reconnue n'existe pas. Parler d'une autorité sans faire référence à une contrainte me semble stérile. Le principe d'un partage d'autorité semble aussi contradictoire, une autorité est hiérarchisée, il n'y a qu'une seule personne, ou qu'une seule entité pour détenir l'autorité suprême. Et encore lorsque l'on parle d'entité, c'est le chef de cette entité qui est visé.
Dans le cas de l'autorité parentale il existe un flou total, l'autorité est entièrement détenu par chacun des parents, comme si la parentalité transformait deux individus en un être bicéphale mais mono volonté !
Et l'enfant doit construire son identité dans cette situation éminemment explosive, le couple familial.

J'entends les imprécations sur la démission parentale, tout est fait pour l'orchestrer.
Que ce soit la mercantilisation de l'esprit de l'enfant ou l'on considère sa maturité à ses capacités de choix de son opérateur GSM , au choix de ses hamburger ou tenues vestimentaires, la perception de nos enfants est bien avilies par ces concepts.
Sincèrement, ne peut on prendre un peu de recul et prendre en compte les intérêts supérieurs de l'enfant plutôt que ceux de l'égoïsme parental!

lundi 5 septembre 2011

un peu de bon sens,

ce que j'aimerais soutenir, le bon sens.
La pitié, la compassion et la justice sont détournée de leur noblesse par des individus sans scrupules.
Les faibles sanctions encourues par les justiciables commettant des abus d'appel à la mansuetude favorisent cette dérive.
Le principe d'égalité attribuant factuellement la même responsabilité aux pauvre bougres et aux potentat permet à ces derniers de se sentir aux dessus des lois.
Nous sommes toujours au temps de Jean Valjean, vous commettez une pécadille et vous vous défendez mal, sanction.
Un diplomate fait bénéficier son épouse de la CMU en utilisant ses dons de séduction et sa duplicité, c'est normal, un africain vient tenter sa chance pour survivre, on le sanctionne dans sa chair et son humanité... c'est un faible, il n'y a pas de risque à le sanctionner....

Il serait temps de refondre nos codes pour éviter toute ses niches à scandale.
Malheur par qui le scandale arrive.

samedi 3 septembre 2011

promenade matinale


Rigidité et intelligence.

Nous vivons une période contractuelle où l’engagement mutuel est mis en avant chaque jour.

Mais la formulation de cet engagement  se délite dans un formalisme d’opérette.

Nous le voyons chaque jour en justice où la mauvaise foi évidente s’oppose victorieusement au simple bon sens.

Nos tribunaux sont envahis de procédures d’intimidations. La procédure abusive n’est plus sanctionnée.

Malheur par qui le scandale arrive n’est interprété que par une nécessité à dissimuler.  

La justice est ridiculisée par la société, je dis justice autant en tant qu’institution que principe.

La justice est un des fondements de la société, il y a  très peu, je n’en vois que quatre. Et notre société la bafoue.  La justice est remplacée par les forces de l’ordre, Les manifestations de pouvoir sont puériles mais que faire contre ? On nous oppose une violence permanente, une escalade, nous subissons. 

Heureusement l’arrière saison risque d’être agréable, la décadence est toujours agréable. Un belle automne est riche, mais est annonciateur de l’hivers.

dimanche 28 août 2011

Droit, Usage, respect et protection des individus


Si  la direction spontanée de l’évolution est l’entropie, ce que nous constatons actuellement est dans le sens de l’histoire.

Nous pressentons les risques de certaines pratiques, au nom du progrès et des intérêts à court terme, nous nous précipitons vers les gouffres que nous apercevons.

Que nos réflexions s’orientent vers la technologie, la sociologie, la politique, l’économie, la philosophie, nous rencontrons un avenir proche plein de bonnes intentions qui se délitent à des rythmes plus ou moins rapides suivant les sujets pour aboutir à des visions apocalyptiques.

Nos besoins énergétiques satisfaits par des moyens  à court terme,  le saccage de certaines ressources  sans tenir compte de l’avenir. La déstabilisation d’équilibres sociaux sans tenir compte des évolutions probables. La confusion entre la recherche du savoir et l’exploitation commerciale des découvertes biologiques, les perspectives édulcorées  qui deviennent des mensonges de plus en plus grossiers.  En cette période de retour de vacances  nous pouvons nous remémorer les perceptions  ressenties dans nos voyages, nos sentiments de bien être devant des cadres de vie préservés, nous étions heureux.

Au non de la santé publique, on prélève de nouvelles taxes, pour protéger le superflu de quelques milliers d’individus inconscients du mal qu’ils génèrent, on bafoue les règles fondatrices de notre société.  N’oublions pas que nous sommes sur le même bateau !

Nous avons plusieurs fois constaté les nuisances des principes financiers  que l’on prône, qu’importe, nous  nous enfonçons.  Les états régaliens basés sur la légitimité nationale sont ébranlés sans qu’une voix s’élève.  La signification de certaines informations semble  ignorée. Que des états/nations ne soient plus crédibles, que l’on doute de la viabilité de l’avenir montre notre vieillissement, notre société est moribonde. Nous en sommes arrivés à taxer les sodas ! Nous avons vendu les bijoux de famille,  le sens égrillard de cette expression se retrouve dans l’expression de Saint Exupery  « des hommes admirablement bien châtrés », mais l’aspect économique est aussi  réel dans les soit disant privatisation qui ne sont que l’aveu de notre échec en nous replongeant dans une barbarie. Le temps des principauté du haut moyen âge est revenu ! Droits de passage quasiment systématique pour se déplacer, droits de cuissage  en voie de rétablissement, l’arrogance du sourire de certaines personnes le montre sans équivoque.

Ces exemples se retrouvent  dans les aspects de l’éducation. Je ne parlerai pas de la scolarité, mais de l’éducation sociale.

Les exemples que les médias nous proposent sont rarement édifiants. La vénalité et le mauvais goût sont portés en exemple, l’arrogance et l’égoïsme sont les valeurs de références.

Même dans les domaines de l’art la brutalité est considérée comme une valeur positive, « art brut » est une « école » au risque de déprécier le concept d’école.

Notre ambiguïté face aux religions, laïcité exprimée et tentative utilisation de certaines religions pour fédérer certaines populations, retour des pratiques  du début des sociétés  religieuses archaïques au détriment d’une unité nationale, diviser pour régner. L’absence de conscience supérieure nous ferme au syncrétisme que l’accélération du métissage des populations  nécessite. S’il est difficile de créer l’union d’un peuple qui dispose de 350 fromages, l’absence d’une volonté œcuménique ne peut que nous  conduire à des guerres de religions, les différences sont une richesse qu’il faut gérer.

Ce premier message est une présentation de mon état d’esprit. Je souhaite utiliser cette tribune pour m’exprimer d’une façon que j’espère indépendante malgré la qualité des pressions que l’on subit chaque jour de la part de certains groupes d’influence.

dimanche 19 septembre 2010

les idées de jardin

On parle beaucoup des jardins dans notre quartier, et sur tout Paris d'ailleurs, peut être dans toutes les villes ...j'aimerais parler des nôtres, des miens et les montrer, un autre projet mais commençons par un des plus spectaculaire le jardin sur les toits (89 rue des haies) puis le 56 rue saint Blaise, et aussi nos squares des grès et de la Salamandre, un petit tour jusqu'à la rue de bagnolet avec le jardin naturel (qui a le charme de nos terrains "vagues" de nos enfances, là où nous ne devions pas jouer et qui abritaient notre découverte de la clandestinité). Les jardins des Balkan entre les maisons et celui de l'Ermitage, à ne pas confondre avec Baudouin sur ses hauteurs, et j'en oublie mais je reviendrai.
Au fait ce dimanche c'est la Parkingday.....www.parkingday.fr